.....Le papier marbré se fait exactement comme la tranche des livres, avec les mêmes matières, les mêmes préparations, le même outillage......
.....es, sont exercées par des ouvriers spéciaux, ce sont : La dorure sur tranche, Et la dorure sur le dos et la couverture. Dans l'une et dans l'autre, on emploie exclusivement l'or au livret, qui est fourni par le batteur d'or. Toutefois pour les reliures à bon marché et surtout pour les emboîtages, on fait un usage constant de feuilles de faux or, c'est-à-.....
.....acute;coction retirée du feu, gros comme une noisette d'alun de roche pulvérisé, et un peu moins de crème de tartre. On met cette couleur sur chaque côté du livre à mesure qu'on le rogne, et avant de desserrer la presse, afin que la couleur ne pénètre pas trop profondément, ce qui pourrait tacher les marges. « Quand la tra.....
.....Quand on veut dorer la couverture d'un livre, on fait deux opérations, qui consistent, l'une à coucher l'or, l'autre à le fixer. La première est l'ouvrage du coucheur d'or, la seconde celui du doreur proprement dit. L'un et l'autre commencent par le dos, continuent par le dedans des cartons, puis passent au bord sur l'épaisseur de ces derniers, et terminent par les plats......
.....t être, autant que possible, appropriés à la nature des matières traitées dans les ouvrages. Ce n'est pas tout : il est encore indispensable qu'ils soient en rapport avec le style de l'époque où le livre a été imprimé ou est censé l'avoir été. Rien ne serait plus choquant que de voir un roman de nos jours décoré avec des fers du quinzième siècle ou l'un des premiers produits de l'art de Gutenberg .....
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