..... nerf entre la ficelle et la queue ; on entoure le volume et l’on ramène la ficelle contre le même nerf. Les deux ficelles bien tendues se trouvent croisées sur le plat du livre, et le nerf est pris entre deux ficelles. De là on passe au second nerf qu’on embrasse par-dessus, puis par-dessous au second tour ; on en fait autant au troisième et à .....
.....ère ; par ce moyen, en serrant toute la pile dans la presse, les gouttières sont plus serrées que le reste du volume. L’ouvrier placé au bout de la presse met les livres de son côté, et les élève de ce même côté plus que de l’autre, de manière que les volumes sont dans un sens incliné, puis il serr.....
.....ant par le mors, vers le milieu, et allant vers les bords de la feuille tout le tour. Si l’on ne prenait cette précaution, on courrait le risque de mettre de la colle sur la tranche du livre, et l’on collerait les feuilles entre elles, ce qu’il faut surtout éviter et qu’on évite toujours, en plaçant sous la garde qu’on veut enduire de colle.....
.....e;ne sur le plat en appuyant suffisamment, et en allant du mors vers la gouttière. Quand le plat a été ainsi travaillé sur toute la surface, l’ouvrier retourne le livre en plaçant le dos vers lui, et après l’avoir bien calé, comme d’abord, il polit dans un sens qui croise le premier à angles droits. Par ce moyen, il parvien.....
.....ans la plus légère humidité ; sans cela, le vernis ne prendrait pas, ou l’on ne pourrait pas parvenir à le polir. Le vernis ne donne pas seulement du brillant aux livres ; il a encore l’avantage de préserver la couverture des gouttes d’eau ou d’huile qu’on peut y laisser tomber par maladresse. Nous n’avons indiqué ici .....
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